Quels sont les 4 principes de l’éthique ?
Les quatre principes de Beauchamp et Childress -autonomie, non-malfaisance,
Bienfaisance, non-malfaisance, autonomie et justiceconstituent les 4 principes de l’éthique.
L'éthique de la recherche médicale traite des conflits d'intérêts à différents niveaux. Des lignes directrices ont été proposées pour une pratique éthique standardisée dans le monde entier. Les quatre principes fondamentaux de l'éthique qui sont soulignés sontautonomie, non-malfaisance, bienfaisance et justice.
Quatre grandes catégories de théorie éthique comprennentdéontologie, utilitarisme, droits et vertus. La classe déontologique des théories éthiques affirme que les individus doivent adhérer à leurs obligations et devoirs lorsqu’ils participent à une prise de décision lorsque l’éthique est en jeu.
Cet article soutient que les quatre principes prima facie-bienfaisance, non-malfaisance, respect de l'autonomie et de la justice-offrir une base solide et largement acceptable pour « faire une bonne éthique médicale ».
Les quatre principes de Beauchamp et Childress - autonomie, non-malfaisance, bienfaisance et justice - ont été extrêmement influents dans le domaine de l'éthique médicale et sont fondamentaux pour comprendre l'approche actuelle de l'évaluation éthique des soins de santé.
1.Beauchamp et Childressont proposé quatre principes qui, selon eux, constituent une moralité commune (sur laquelle tous peuvent être d'accord) pour guider les gens et analyser les dilemmes bioéthiques.
L'expression « principes éthiques fondamentaux » fait référence à ceuxjugements généraux qui servent de justification de base aux nombreuses prescriptions éthiques particulières et évaluations des actions humaines.
En résumé,intégrité, respect, responsabilité, équité, compassion, courage et sagessesont les sept principes de la prise de décision éthique.
En se concentrant sur le processus de compréhension et de résolution d'un dilemme éthique, James Rest (1994) a développé un modèle théorique de prise de décision éthique qui implique quatre processus psychologiques distincts :conscience morale, jugement moral, intention morale et action morale.
Quel est le principe du moindre mal ?
Moins de mal
C'est semblable à la bienfaisance, maistraite des situations dans lesquelles aucun des deux choix n’est bénéfique. Dans ce cas, une personne doit choisir de faire le moins de mal possible et de nuire au moins de personnes.
- Éthique normative.
- Méta-éthique.
- Éthique appliquée.
L'approche, développée aux États-Unis, repose sur quatre engagements moraux communs et fondamentaux à première vue :respect de l’autonomie, de la bienfaisance, de la non-malfaisance et de la justice--plus le souci de leur champ d'application. Il offre un cadre analytique moral de base commun et un langage moral de base commun.
- Autonomie. ● Respecter le droit du patient à prendre sa propre décision.
- Bienfaisance. ● Offrir un traitement dans le but de faire du bien au patient.
- Non-malfaisance. ● Ne pas nuire au patient.
- Justice. ● Répartition juste et équitable des ressources de santé.
- Cela peut être cohérent avec ce que nous faisons réellement et pensons que nous devrions faire, du moins dans des cas comme l'accident de voiture cité au début de cette section. ...
- Il humanise l’éthique en centrant la pensée sur de vraies personnes plutôt que sur des règles froides.
Les cinq principes éthiques qui éclairent notre travail en tant que professionnels de la vie étudiante sont1) Autonomie, 2) Prévenir les préjudices, 3) Faire le bien, 4) Justice et 5) Fidélité.
- L'approche utilitaire. ...
- L'approche des droits. ...
- L’approche d’équité ou de justice. ...
- L’approche du bien commun. ...
- L'approche de la vertu. ...
- Résolution de problèmes éthiques.
Chaque fois que des individus sont traités de manière inégale sur la base de caractéristiques arbitraires et non pertinentes, leur dignité humaine est violée. La justice est donc un élément central de l’éthique et doit être accordéeconsidération due dans notre vie morale.
Dire la vérité ou l’honnêteté est considéré commeun principe moral, une règle ou une valeur fondamentale. Retenir des informations ou tromper le patient semblerait au moins manquer de respect à son autonomie et potentiellement lui nuire.
La règle d'orguide les gens à choisir pour les autres ce qu’ils choisiraient pour eux-mêmes. La règle d'or est souvent décrite comme « se mettre à la place de quelqu'un d'autre » ou « faire aux autres ce que vous voudriez qu'ils vous fassent » (Baumrin 2004).
Quelles sont les 8 normes d’éthique ?
La discussion a porté sur les 8 normes de conduite des agents publics et des employés qui étaient a) l'engagement envers l'intérêt public, b) le professionnalisme, c) la justice et la sincérité, d) la neutralité publique, e) la réactivité envers le public, f) le nationalisme. et patriotisme, g) Engagement envers la démocratie et h) Vie simple.
Quatrième étape :L'étape de sélection
Si le clinicien a fait un bon choix, il faut espérer que son choix fonctionnera efficacement dans le monde réel. Pour s'assurer que c'est bien le cas, le clinicien poursuivra ce processus avec les deux étapes finales.
Le modèle en quatre étapes de Rest constitue la base du raisonnement moral et comprend les étapes suivantes :1) identification du dilemme éthique (sensibilité éthique) ; 2) application du jugement moral ; 3) engagement de la motivation morale ; et 4) agir avec une intention morale.
Le principe du plus grand bonheur (GHP) stipule quenous devrions poursuivre des actions qui produisent le plus grand bonheur global au monde, et pas seulement maximiser notre propre bonheur.
Le principe du préjudice ditles gens devraient être libres d’agir comme ils le souhaitent, à moins que leurs actions ne causent du tort à quelqu’un d’autre. Ce principe est un principe central de la philosophie politique connue sous le nom de libéralisme et a été proposé pour la première fois par le philosophe anglais John Stuart Mill.